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Encore Moi
Premier extrait du nouvel album de GARZ « Sur commande » (à paraitre en février 2025)
Encore lui !
Mais non, c’est « Encore Moi »… Garz est de retour, et avec lui, ce drôle de double musical, qui n’a pourtant rien à voir (avec lui), inventé à l’occasion d’un feuilleton théâtral, et écrit il y a quelques années par d’autres que lui. Vous suivez ?
“Moi“ est donc un personnage en tant que tel, un enfant qui grandit dans les années 80, nourri aux dessins animés et qui passe une semaine sur deux avec son père. Un destin qui n’est pourtant pas étranger à celui de Garz dont la vie personnelle trouve d’étonnants échos chez cet enfant de fiction. Le tout sur des nappes synthétiques entêtantes et une rythmique imparable pleinement orientés vers l’efficacité du titre, court et tranchant.
Moi, c’est donc lui qui en parle le mieux, et c’est un morceau de choix pour vous !
Grand piano – Nouveau single
Attaquer 2024 avec un flashback dynamique, remonter à la source pour mieux prendre le large, ouvrir un nouveau cycle créatif !
Photo : Sacha Lenormand
GARZ x 3
Nouvelle formule LIVE en POWER TRIO. Lave plus blanc. Avec Hubert Francq à la basse et le mystérieux Bertrand D. à la batterie. Ici extrait de la chanson « Barré ». Images et montage Schlunk.
Tombé pour la France
Disponible sur les plateformes, cette reprise de « Tombé pour la France » d’Etienne Daho et Arnold Turboust, en mode pop indé / post-punk / new wave.
C’est officiel, tout va bien !
3ème extrait bonus track de l’album Chansons oubliées (casio session) [2023 Remaster] désormais disponible sur toutes les plateformes.
La mer descend…
Deuxième extrait de l’album Chansons oubliées (casio session) [2023 Remaster] bonus track (version inédite 2023) de La mer descend chanson originellement parue en 1998 sur l’album Rock de chambre de GARZ alias Oblomov.
Le clip de Dimanche
En amont de la sortie de l’album « Chansons oubliées [2023 Remaster] » sur toutes les plateformes, voici un premier clip home-made, un objet filmique non identifié avec l’apparition amicale de Nathanaël Frérot et la contribution involontaire de Frédéric Chopin.